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Elle a une voix capable de toutes les prouesses, écarts, fortissimos impromptus qu’on oublie vite pour ne garder que cette émotion trouble où elle plonge l’auditeur
(D.de C. L’Impartial, 30.09.1985)
Maria Dapaz: une révélation (Théâtre de l’Echandole – Yverdon)
Douée d’une voix au timbre naturel et puissant, cette jeune artiste a su donner tout au long de cette soirée la sensibilité ainsi que la vitalité que seule une grande dame de la chanson peut donner. (M.Champod. Journal D’Yverdon, 08.10.1985)
Maria Dapaz “Tout un continent dans la voix” (Petithéâtre – Sion)
Elle marie volupté suave des sambas de Rio et la magie rythmée de Recife où elle est née. Tout un continent dans la voix. (Nouvelliste du Valais, 26.10.1985)
Maria Dapaz est de retour (Théâtre de l’Echandole – Yverdon)
Possédant un sens rythmique que seuls les gens du Sud savent vraiment imprimer à leur musique, Maria Dapaz a su le transmettre pour la durée d’un soir à un public qui l’a reçue avec un enthousiasme sans réserve. (Journal d’Yverdon, 15.01.1986)
Maria Dapaz, le Brésil chaud (Grand-café – Lausanne)
Née pour chanter, Maria Dapaz joue merveilleusement d’un instrument naturel, sa voix. Elle a un talent précieux, celui de parler avec le coeur
(Stéphane Rastello-Le Matin, 12.03.1986)
Maria Dapaz, brune et passionnée (Salle de l’Etoile – Courrendlin)
Et surtout une forme vocale superbe, avec des passages assez vertigineux tant sur le plan de la puissance que celui de la maîtrise. Maria Dapaz a conquis un public venu nombreux à sa rencontre. (J.S. Le Démocrate – Delémont, 22.03.1986)
Un tour au Brésil avec Maria Dapaz (La Grenette – Vevey)
La douceur de la langue, les jeux de physionomie, la fierté drue et naturelle de l’artiste, sa fougue emportent loin des traditionnelles sambas. (M.S. Vevey Riviera, 01.03.1986)
Maria Dapaz. Pulsations couleur chagrin (La Tarentule – Saint-Aubin)
Une voix capable du coup de gueule et de la caresse. Quelle voix, quelle langue. Une femme douce au rêve fort, qui met avec classe et pulsation des couleurs au chagrin (Ch.G. Feuille d’Avis de Neuchâtel, 14.06.1986)
Maria Dapaz le Beau Brésil (Printemps de Bourges)
Maria Dapaz avait le trac. Et la salle Gilles-Sandier sommeil. Le froid. Mais Maria chante comme on respire avec sa voix de toutes les couleurs, ses plaintes langoureuses et sensuelles, elle a donné vie à la salle. Maria Dapaz a tout un pays derrière elle. Ça s’entend. Belle, captivante, superbe, la dame en blanc a gagné son pari.
(Tremplins, 1987)
Maria Dapaz: toute la vérité sur le Brésil (Cram – Monthey)
Sensuellement du bout des lèvres, elle chante son pays à nous émouvoir… Brésilienne à fleur de peau. Le public a vibré aux intonations de cette voix envoûtante.
(Ph.Biselx – Le Chablaisien, 21.01.1988)
Maria Dapaz. Rythmes à plein coeur (Théâtre des Faux-Nez – Lausanne)
Une voix profonde, envoûtante. Le tour de chant de Maria Dapaz, a transformé ce sympathique caveau lausannois en un espace magique, lumineux, rempli d’émotion et de sensualité. (AR.24 Heures-Lausanne, 29.02.1988)
Maria Dapaz. Une fille-flamme (La Grange – Le Locle)
La Grange était archi-pleine pour entendre Maria Dapaz. Elle porte dans le monde les couleurs du Brésil, elle a de sa terre l’accent chaleureux. Elle chante de tout son être
(D. de C.- Feuille d’Avis de Neuchâtel, février 1988)
Maria Dapaz à Aigle – Une soirée brésilienne (Château d’Aigle)
Affluence au Château d’Aigle. Maria Dapaz, on la connaît bien. Empreinte d’un univers parfois lointain, elle nous livre pour un soir les trésors d’un Brésil authentique.
(Martine Roulet – L’Est Vaudois, 05.12.1990)
Sprühendes Temperament (Atlantis – Basel)
Maria Dapaz verkörperte gleicherweise offenes Temperament und soziales Engagement, sezte die ganze Kraft ihrer vollen, dunkeln Stimme ein, heizte dem vorerst noch etwas schwerfälligen Publikum ordentlich ein.
(Christian Fink und Sylvia Scalabrino – Basler Zeitung, 25.01.1986)
Starke Ausstrahlung, zigeunerhaftes Temperament: Maria Dapaz aus São Paulo.
Abgelöst wurde Zedu durch eine besonders schöne Einlage: Maria Dapaz, Solosängerin und Guitarristin aus São Paulo. Sie kam zuerst allein – mit starker Ausstrahlung, zigeunerhaftem Temperament und einen ständigen Augenzwinkern sang sie “starke” Lieder und hatte keine Mühe, das schon, von Zedu nachhaltig angewärmte Publikum in Bann zu schlagen. (Martin Matter – Basler Zeitung, 27.01.86)
Maria Dapaz: Kleine Frau mit ganz grosser Stimme (La Spirale – Fribourg)
Eine kleine, zierliche Frau mit einer ganz grossen Stimme und einer ganz grosse Bühnenpräsenz. (Freiburger Nachrichten, 22.04.1986)
Maria Dapaz aus Nordeste Brasiliens (Balsthal)
Mit ihrer Gitarre fasziniert sie ihr Publikum. Auf dem Gurten an der Friedensnacht “fesselte” sie zusammen mit ihrer Begleiterin Jocelyne Aymon während fast zwei Stunden ca. 1500 Personen. (Wochenendübersicht, 22.11.86)
Das Armenhaus Brasilien besungen (Goldener Anker – Pforzheim)
Mit ihrer sehr leidenschaftlichen, ausdrucksstark-kraftvollen Stimme zog Maria Dapaz rasch die Zuhörer im Kulturzentrum “Goldener Anker” in den Bann einer hierzulande ausgesprochen selten zu hörenden Musik. (rdf – Pforzheimer Zeitung, 05.05.1987)
Maria Dapaz hat nicht nur Stimme, sie ist ganz Stimme (Schützen – Rheinfelden)
Ob zärtlich und streichend oder forsch und fordernd, diese Stimme packt. Maria ist nicht nur die Stimme des Nordostens von Brasilien. Sie ist die Stimme dieses gewaltigen Kontinentes. (Kurt J. Rosenthaler-Aargauer Tagblatt, 02.07.1987)
Maria Dapaz im BÜZ, ihre Stimme vibrierte (Minden)
Ihre Stimme vibrierte, schluchzte, lachte und besänftigte, sie erregte, provizierte und machte froh, alles war in ihrem Gesang. Obwohl Maria Dapaz in portugiesischer Sprache sang, verstand man sie trotzdem – nur aus der Art ihres Vortrags heraus, aus ihrem Gesichtsausdruck, dem Timbre ihrer Stimme. (Linder – Minden Zeitung, 12.09.1987)
Maria Dapaz In Alte Oper Frankfurt
Die Komponistin, Texterin, Sängerin und Gitarristin wurzelt unverkennbar im Norden Brasiliens. Sie entpuppt sich als sensible Poetin, die alle Zwischentöne beherrscht und mit ihrer Stimme jeden gleich gefangen nimmt. (Frankfurt, 23.02.1988)
Maria Dapaz. Einfach schön (18º Festival -Berlim DDR, 1988)
Maria Dapaz aus Brasilien, nachdenklich und fröhlich, sang für die Rechte ihres Volkes, für Freundschaft, um die zu kämpfen es sich lohnt, für Liebe zum anderen und zur Heimat. Begleitet wurde Maria von Jocelyne Aymon, deren ungewöhnlicher Charme mich faszinierte. Gemeinsam brachten die beiden Frauen ihr Publikum nicht nur zum Mitklatschen – sondern – zum Singen. (Th. Härtrich- Festival Zeitung, 1988)
Autor: Joma Produções
Fonte: International Press
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